On sait, ça suffit ! de Robert Ortéga
Par Antoine le jeudi 16 juin 2022 - Ma Plume Romans - Lien permanent
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Synopsis
Cette histoire est celle d’une tranche de vie. A peine romancée, elle se situe dans la période folle de l’après guerre 39-45 où la jeunesse a tout juste le temps de s’exprimer, qu’elle s’enfuit. Le décor pourrait être celui d’un théâtre. Il est tout simplement celui d’un quartier chaud, dans une ville qui ne l’est pas moins, Marseille.
Dans ce théâtre, les adolescents y sont les principaux interprètes. A cause de l’inscription sur leurs tickets de rationnement, on les appelait les J3. Très tôt, ils avaient compris ce qu’il fallait dire ou non, mais l’un d’eux va aller au bout de son fantasme. Son adolescence s’envole dans une folle aventure où, au risque de ne plus être lui-même, il tente l’impossible. Ce que seule la jeunesse peut oser.
Il y laissera ses illusions juvéniles pour acquérir le privilège d’être un homme.
Certains seront choqués, peut-être incrédules, par ce qu’ils vont découvrir, pour peu qu’ils n’aient jamais vécu d’aussi près cette réalité que l’on nomme un mal nécessaire : la prostitution !
La vie oblige parfois un passage réel, un chemin d’incertitudes, à des heures fortes.
On ne choisit pas sa naissance. Elle se confond dans un décor par une honnêteté naïve, une acceptation qui la rend presque heureuse parce que tout devient naturel. Faire son éducation dans un quartier chaud n’est pas chose facile !
Heureux sont ceux dont les racines y sont enfouies !
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Préambule
Ceci est un roman, mais comme il m’est impossible de rester indifférent à la lecture de ma mémoire, tout ce qu’on va lire a existé ou presque. Mon histoire emprunte des chemins vrais, emplis de réalités et à des heures fortes. La réalité n’a que faire de longs discours. On sait, ça suffit ! Mon père aurait voulu raconter, le temps lui a manqué. A travers l’éternité son esprit guide ma plume. Quant à mon quartier, mes racines, vivant d’un mélange d’amour et d’horreur, il est, comme il se doit, l’écho de mon enfance.
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On sait, ça suffit !
Robert Ortéga
Commentaires
Enfin je l’ai fini.
Il se laisse lire, ce ne deviendra pas best seller mais sait-on jamais.
Le livre retrace un tranche de vie autour des année 45 d’un enfant de la rue Curiol, rue mythique en son temps avec la Canebière qui n’est plus que l’ombre d’elle même.
A lire.
PS : pouvez-vous enlever le filagramme, il devient pénible à la longue ;
Bonjour,
Merci pour votre message.
Sur les prochains écrit il n'y aura plus de filigramme.
Antoine